Ni d’Ève ni d’Adam par Amélie NOTHOMB (2007)
4ème de couverture : « Stupeur et tremblements pourrait donner l’impression qu’au Japon, à l’âge adulte, j’ai seulement été la plus désastreuse des employés. Ni d’Ève ni d’Adam révélera qu’à la même époque et dans le même lieu, j’ai aussi été la fiancée d’un Tokyoïte très singulier. » A. N.
Au vu de la déception qu’avait été Journal d’Hirondelle, il était inévitable que j’apprécie plus ce titre-ci. J’ai retrouvé avec plaisir l’écriture d’Amélie NOTHOMB.
Il est question ici d’une histoire de « goût » (koi en japonais) entre Amélie et son fiancé nippon mais aussi et surtout d’une histoire d’amour entre l’écrivain et son pays favori entre tous : le Japon.
Amélie NOTHOMB nous raconte sa relation avec Rinri, étuidian japonais. Et à travers ce récit, par des anecdotes parfois légères ou drôles et parfous un peu grandiloquantes, nous sentons tout l’amour qu’elle porte au Japon, à ses coutumes, ses habitants, sa cuisine, ses traditions, sa géographie.
Au final, je me suis moins intéressée à l’histoire entre Rinri et Amélie, dont les attitudes m’ont souvent agacée, qu’à l’omniprésence du pays.
Finalement, le personnage principal de ce roman selon moi, c’est le Japon.